
Pendant plusieurs mois, j’ai pris part à une formation animée par le designer Jean-Baptiste Sibertin Blanc. C’est là qu’un défi a surgi : créer une lampe sans ampoule visible. Une lumière qui ne s’impose pas, mais qui se laisse deviner. Une lampe au service de la céramique, et non l’inverse.
Une pièce où la lumière ne se révèle pas directement, où elle se fait discrète, diffuse, suspendue derrière des découpes minutieuses.
Un dôme de céramique qui joue avec les ombres, comme l’intérieur d’un théâtre antique ou la nef d’une cathédrale, où chaque rayon devient une invitation à la contemplation.
Cette lampe est à la fois un objet d’éclat et un refuge calme — elle éclaire sans s’imposer, elle habille l’espace sans le conquérir.
Quatre mois de patience, d’ajustements, d’exploration, pour enfin révéler cette première pièce née d’une rencontre entre savoir-faire et poésie.
Aujourd’hui, je ressens une certaine fierté à voir cette lumière prendre forme. Comme un rappel que la lenteur, parfois, permet d’aller plus loin ( et ceux qui ont l’impatience chevillée au corps - comme moi - connaissent le long chemin pour en arriver à écrire ces lignes …)
Une pièce où la lumière ne se révèle pas directement, où elle se fait discrète, diffuse, suspendue derrière des découpes minutieuses.
Un dôme de céramique qui joue avec les ombres, comme l’intérieur d’un théâtre antique ou la nef d’une cathédrale, où chaque rayon devient une invitation à la contemplation.
Cette lampe est à la fois un objet d’éclat et un refuge calme — elle éclaire sans s’imposer, elle habille l’espace sans le conquérir.
Quatre mois de patience, d’ajustements, d’exploration, pour enfin révéler cette première pièce née d’une rencontre entre savoir-faire et poésie.
Aujourd’hui, je ressens une certaine fierté à voir cette lumière prendre forme. Comme un rappel que la lenteur, parfois, permet d’aller plus loin ( et ceux qui ont l’impatience chevillée au corps - comme moi - connaissent le long chemin pour en arriver à écrire ces lignes …)
